mercredi 3 octobre 2012

430° la guerre du mariage gay. 2° épisode.




Un livre où il est question de racisme anti-blanc... Les lecteurs de monsieur Copé vont-ils faire semblant de découvrir ce nouveau mal qui frappe la société, ou vont-ils se remémorer les quolibets de comptoir des gros beaufs bien de droite, ces déblatérations vieilles de plusieurs dizaines d'années, au point d'être démodées au Front National, toujours audibles dans certains bistrots où il faut bien entrer quand on a besoin de faire pipi et de boire un café à certaines heures dans certains endroits? 

Les imprimer sur du beau papier dans le cadre d'un manifeste pour un ordre nouveau, euh pardon, pour une "nouvelle politique" vont-ils faire oublier les glauques égouts où résonnent les putrides effluves des discours de haine initiés dans tous les pays où, jadis, l'homme blanc réduisit l'homme noir? Alabama, Afrique du Sud, Zimbabwé ? 

C'est ce retour à des sources impures que Monsieur Copé appelle de ses voeux et de sa nostalgie?
 


©Jeffroy / Flash Press / DPPI


S'il n'y avait que ça... le cardinal Barbarin, qui voyait poindre "un grand retour" de l'inceste, de la polygamie", et de je ne sais quel fantasme à propos duquel il s'était exprimé si spontanément a reçu des renforts: François Lebel, maire du 8° arrondissement de Paris, celui-là même qui a célébré le deuxième ...? le troisième?  bon bref l'un des mariages de Nicolas Sarkozy, vient, dans son journal municipal, et donc avec l’argent de ses administrés, d'en remettre une couche bien puante.

Ces braves gens méconnaissent-ils le sens du ridicule ou pensent-ils qu'en  avalant la couleuvre avec abnégation, ils seront mieux réélus? Pourtant, monsieur Lebel tient un des arrondissements où il a le moins de souci à se faire.

Mes lecteurs bien-aimés auront remarqué que ce blog n'a pas pour le moment son activité d'antan. Et pour cause, j'en fais un autre dans lequel je raconte cinq semaines de vacances on the road aux USA. J'ai fait quatre mille photos, j'en publierai quatre cent, je pense. 

Mais à la différence de ceux qui ont été à un congrès ici ou là ou qui ont passé cinq jours à New York, nous avons fait dix mille kilomètres en voiture, mangé et dormi au hasard de nos déplacements, dans des petites villes comme dans des grandes, observé, vécu.




Une fois terminé, ce blog  ne changera plus. Et je pourrai me consacrer à nouveau de façon plus régulière à celui-ci.








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